Que propose l'atelier?

L'atelier propose aux femmes de créer des images qui leur ressemblent: dessin, bande dessinée, techniques mixtes, collages, montages, vidéo, photo, portraits, autoportraits... Toutes peuvent participer. Certaines seront les auteurs directes de ces images, tandis que d'autres contribueront de diverses manières (scénario, maquillage, musique...). Il n'y a pas d'obligation envers chacune des participantes à produire quelque chose lors d'une séance. 

Nos images, nos représentations.

Lors de la soirée du 8 mars 2014, nous avons feuilleté ensemble quelques bandes dessinées et romans graphiques à thématique lesbienne, et nous avons échangé sur la responsabilité des lesbiennes dans la lutte contre leur invisibilité. La visibilité de la sexualité et de l’identité des lesbiennes passe par leur créativité.

L’Atelier Graphique du VDF propose aux femmes de créer des images qui leur ressemblent: dessin, bande dessinée, techniques mixtes, collages, montages, vidéo, photo, portraits, autoportraits... Toutes peuvent participer.

Certaines seront artistes, tandis que d’autres contribueront de diverses manières (scénario, maquillage, musique...). L’atelier sera un lieu de création mais aussi de partage de projets. Il n’y a pas d’obligation envers les participantes à produire quelque chose : pas de complexe, c’est la spontanéité et l’authenticité qui constituent la base de votre créativité, et la pratique par la suite permet davantage de maîtrise.

Cette première séance d’une série d’ateliers mensuels (sous réserve d’une fréquentation suffisante) sera l’occasion de faire un état des lieux et de définir les besoins et les envies des unes et des autres.

L’atelier s’articule en 3 temps : création, mutualisation et partage. Chaque session consistera en une présentation, un travail réparti en groupes et un bilan collectif final.

Soizick Jaffré, dessinatrice (http://about.me/soizickjaffre), animera des créations graphiques accessibles à toutes, tandis que d’autres groupes auront la liberté d’évoluer sur leurs projets de façon autonome. Elle mènera ce projet collectif en centralisant et en diffusant ces images en dialogue avec les participantes.

Le cadre de l’atelier doit permettre des rencontres et la motivation individuelle sera, espérons-le, alimentée par l’émulation collective.